🌹 Biodiversité & INSECTES🌹 De nos jours, toutes les familles d’insectes sont concernées par la disparition inquiétante, voire l’extinction définitive, de leurs espèces ; l’agriculture n’en est pas l’unique responsable ; loin de là. 🌹 Principalement, les variations persistantes de la météo, de nouvelles pluies intenses, là et quand, il ne le faudrait pas, les vents de plus en plus violents, persistants et plus chauds que par le passé récent, ainsi que de nouveaux incendies dans des périodes et lieux inhabituels comparativement au passé proche.
🌹 Seulement, les insectes, pour beaucoup, sont des agents reproducteurs des plantes et fleurs par le butinage, et. De récentes études statistiques scientifiques, démontrent que, si les insectes (et pas que les abeilles) disparaissent, du jour au lendemain de la surface terrestre, l’humanité n’en aurait plus que pour 40 années maximum avant l’extinction définitive de tous les végétaux naturels ou agricoles, sur les 5 continents.
membre de L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN)
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🌹 Juste quelques PHOTOS pour voir
🌹 Chrysalide ou Nymphe = Naissance d’une CIGALE, après environ 4 années minimum passées sous terre sous forme de larve. 🌹 © Copyright PHOTO Michel HUGUES 🌹
🌹 Grande Cigale ou « CIGALON » en Provençal 🌹 © Copyright PHOTO Michel HUGUES 🌹
🌹 Mots Clefs : Insectes, mouche, abeille, essaims, moustique, cafard, coléoptère, scarabée, bestiole, moucheron, invertébré, punaise, coccinelle, scolopendre, fourmi, guêpe, frelon, frelon asiatique, cigale, Michel HUGUES
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« La puissance des images vraies , face à la réalité et à la vérité effacées par l’Intelligence Artificielle © » . MH
📸 AUTRES GALERIES PHOTO sur la BIODIVERSITE =
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© Photo Patrick BARRE – 🌹 Depuis 2019 d’importants soucis de santé m’ont éloigné de la photographie notamment de la photo animalière ne pouvant me mouvoir à la suite de plusieurs hospitalisations et traitements successifs …🌹 j’espère encore pouvoir reprendre sous peu. Certaines photos sont issues de l’utilisation d’un PIEGE-PHOTO .
« Dans 100 ans, maximum, tous les insectes pourraient avoir disparu de la surface de notre planète ». Cette affirmation est celle du scientifique australien Francisco Sanchez-Bayo, biologiste à l’université de Sydney.
Très peu médiatique, cette actuelle disparation massive des insectes ne semble pas inquiéter les habitants de notre planète outre mesure, car ils ne sont plus que majoritairement des urbains, vivants uniquement dans du béton et du goudron, plus préoccupés par la lutte contre les moustiques, les blattes et les araignées que contre la disparition de toutes les variétés d’insectes bien plus grave.
En France plus qu’ailleurs, une mode médiatique pourtant bien réaliste, démontre que l’espèce la plus en danger est celles de la famille des abeilles sans lesquelles il n’y a plus de pollinisation possible, plus de pollinisation dans la végétation naturelle d’où extinction des espèces végétales des espaces naturels, d’où cultures agricoles de plus en plus improductives.
Mais il est une autre conséquence, dont beaucoup n’ont pas encore découvert l’étendue et la gravité, la disparition des insectes se traduit par la disparition de la nourriture pour une grande partie des animaux sauvages, notamment des oiseaux et des batraciens. Qui actuellement meurent ou changent en migrant de lieux d’habitat.
Le tout entraînera des conséquences catastrophiques pour tous les écosystèmes de la planète donc pour la survie de toute l’humanité.
Michel HUGUES
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